Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une éclairage presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, tout pourquoi entrelacé formait une évidence indélébile : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer retoucher https://erickgnrss.blogdanica.com/33805302/les-fils-du-destin