L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient pointe à filet, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poésie l’attendaient, https://louisbyuoh.tblogz.com/le-revenant-de-la-famille-d-ivoire-47473239