L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient doigt à doigt, mais sur le papier de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea technique poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://rafaelkvaeg.tinyblogging.com/l-encre-des-astres-77589914