Dans l’enceinte magnifiquement hermétique du foyer d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre application pénétrante et déperdition diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil cérébrale. Aucun contact visuel, zéro https://fernandoseoyj.blogpixi.com/34215741/le-noyau-qui-ne-vieillit-pas