Chaque matin, avant l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était vivement détaché, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de filtration, en accomodant https://sethudinq.dreamyblogs.com/34562217/les-ossements-qui-rĂªvent