À prosodie que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au départ qu’un battement assidu devenait quelques pulsations asymétriques, tels que si le rocher répondait à un sens intérieure plus qu’aux déplacements de l’océan. Le musicien enregistrait chaque séance avec une rigueur intérieure, superposant https://neila577nhz1.ltfblog.com/profile